Quand une peinture se « présente », il n’y a pas de sens à dire qu’elle est vraie ou fausse. Elle est là, devant nous. 

Le regard crée lui-même de l’ordre dans du visible indéterminé. Personne ne veut être étranger à ce monde proposé au regard. Tout un chacun veut participer, en devenir l’ordonnateur, par imagination en y introduisant son ordre propre, une fonction de représentation non préétablie.